Listly by linda-adeson
Etudiant, salarié en reconversion, lycéen en pleine orientation... Chacun peut se poser la question de l'école de commerce, ses atouts, ses difficultés, ses bénéfices. On vous aide à y voir un peu plus clair !
Même si le bac va progressivement revêtir un nouveau visage, certaines matières sont incontournables pour être à l'aise une fois la formation intégrée. On peut notamment citer la géopolitique, les langues ou encore les sciences économiques. Plus qu'un profil type, les écoles de commerce recherchent une capacité de réflexion associée à des connaissances solides.
Les classements des écoles de commerce peuvent nous faire croire qu'on est mieux aiguillé dans cette jungle inconnue ; or, tous les classements publiés dans la presse sont le miroir de critères subjectifs. On peut le vérifier aisément en comparant deux magazines concurrents. A prendre avec des pincettes donc.
Les trois secteurs où l'on retrouve le plus de jeunes diplômés sont la finance, le commerce et le conseil. Aussi, un grand nombre de ces jeunes (1/3) entrent dans une entreprise de plus de 5 000 salariés, et peu d'entre eux se lancent dans l'autoentreprise.
De plus en plus de formations en France se transforment pour proposer un cursus en alternance, méthode d'apprentissage qui rassure les futurs employeurs et confronte les jeunes au monde du travail. Avec les cours en parallèle, les connaissances engrangées sont complémentaires et permettent au futur salarié d'être opérationnel plus rapidement.
Une des raisons pour lesquelles tout le monde ne postule pas à des écoles de commerce est aussi leur prix. A moins de pouvoir débourser plusieurs milliers d'euros par an sans s'endetter, c'est presque chose impossible. Il existe cependant divers moyens de financer ces coûts, comme les jobs étudiants ou les bourses.
Tournée vers l'international et le digital, l'ESDES est l'école de commerce de l'université catholique de Lyon. Elle propose des cursus en alternance ou non, en 3 ou 5 ans, à dimension internationale.